Le musée met en valeur quelque 18 000 artefacts.
Notre collection est accessible via l’exposition permanente
De la cave au grenier et les expositions temporaires annuelles.
Mobilier artisanal, collections d’arts anciens tels que peintures, broderies, sculptures, objets de la vie quotidienne témoignent du patrimoine rural de Montréal. Il s’agit d’objets et de mobiliers des 17e et 18e siècles.
Le Musée porte une attention particulière à la restauration et à la préservation de sa collection et de ses bâtiments.
AMEUBLEMENT
Tout en s’inspirant des styles distinctifs de leurs provinces d’origine, les nouveaux arrivants s’entourent d’un ameublement adapté au climat et aux matériaux disponibles.
Petit à petit, nous retrouvons dans les habitations un ameublement varié et utilitaire : coffres, armoires, bahuts, commodes, huches, sièges, tables, bancs, tabourets, fauteuils, chaises, horloges, objets usuels et décoratifs.
L’évolution des goûts suscite des décorations et des pièces de mobilier aux styles les plus divers: Louis XIV, Louis XV, Louis XVI, néo-classique, victorien, etc.
ARTS
La collection du musée compte plusieurs exemples de métiers des arts décoratifs, graphiques et religieux.
Ces objets sont les témoins privilégiés du savoir-faire des artisans et de la créativité des artistes. Ils illustrent diverses techniques à travers une variété de matières incluant le bois, le métal, la céramique, le verre, le textile, etc.
COMMUNICATION
L’être humain est en soi un être de communication. À travers les siècles, des objets de communication sont créés en tant qu’expressions de la pensée humaine.
Parmi les objets de la collection du musée, nous retrouvons des objets de communication écrite comme le livre et les cartes postales. Nous possédons également des objets de communication sonore comme les cloches, claquoirs, crécelles et le porte-voix.
HABILLEMENT
Nous ne pouvons guère compter sur l’iconographie pour nous représenter l’habillement des premiers colons de la Nouvelle-France. Les vêtements, à la différence des meubles et des outils, ne sont pas durables.
Dans les vingt années qui suivent la fondation de Ville-Marie, la tenue vestimentaire de ses habitants conserve un cachet emprunté de la France.
Même si tous reconnaissent que le costume à la canadienne est mieux adapté au pays, il n’est pas porté par l’ensemble de la population masculine. De leur côté, les femmes continuent à calquer leurs vêtements sur ceux qui se portent en France. Ce n’est qu’après 1663, que l’on constate un changement radical et adapté au pays.
OBJETS DU QUOTIDIEN
En Nouvelle-France, l’intérieur de la maison est bien incomplet sans l’apport des objets domestiques.
Parmi eux, nous retrouvons les objets utilisés pour le chauffage, l’éclairage, l’alimentation ou encore, l’entretien ménager.
Tous se retrouvent tant dans les milieux aisés que modestes. Toutefois, certains objets sont l’apanage de gens bien nantis, tels les administrateurs, les militaires et les marchands.